Souvenirs De Jeunesse-3 : LInitiation
Lâge avançant, je regarde souvent en arrière, avec nostalgie. Souvenir souvenir,
Je précise que nous ne sommes pas libertins. Martine est prude, mais pas coincée. Je ne suis pas jaloux, mais disons possessif, candauliste uniquement dans mes fantasmes.
Un nouveau souvenir de jeunesse me revient à lesprit. A la différence des autres « souvenirs », ce récit est bien réel, enfin presque
Jai imaginé ce qui pouvait se passer dans la tête de Martine.
Nous étions jeunes, sans beaucoup dexpériences, nous avions encore beaucoup à apprendre. Les vacances arrivent pour nous initier ?
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Jeune couple, notre entente au lit était parfaite, notre sexualité épanouie, nous étions tous les deux satisfaits. Sans beaucoup dexpériences, nous avions encore beaucoup à apprendre, tout était à inventer, tout était à découvrir. Ensemble.
Les vacances qui arrivaient, allait nous y aider. Cette année, La Grande Motte, le soleil, la mer, le farniente. Mariés depuis deux ans, nous baisions tous les jours, le soir en nous couchant, le matin au réveil, et parfois la chaleur nous faisait faire une petite sieste.
Je me souviens
Tous les jours sur la plage, bronzette obligatoire. Beaucoup de femmes seins nus, cest la mode, et quelle mode ! Quelle belle époque !
Ma réflexion « pourquoi ne fais-tu pas comme elles ? » a surpris Martine. Pourtant, dans laprès-midi, lentement elle enlève son haut, dégrafant les bretelles, laissant échapper un sein, se retournant, allongée sur le ventre elle fait glisser son soutien-gorge pour le ranger dans son sac. Jattends quelle se retourne pour se retrouver, comme les autres, la poitrine à lair
. La première fois, quelle excitation de la voir ainsi exposée, jai limpression que tout le monde la regarde. Je repère quelques voyeurs, et les voisins de plage toujours intéressés par la femme des autres, comme moi.
Lhabitude est vite prise, elle ne met même plus de soutien-gorge pour sortir. Nous allons plage de lEspiguette, une plage plus isolée où nous pouvons nous baigner entièrement nus. Peu de monde, à peine deux couples un peu plus loin, nus eux aussi, et quelques hommes qui passent en jetant un coup dil, attisant mon excitation.
Un couple damis parisiens, en vacances dans la région, vient passer la journée avec nous. Direction la plage, excité à lidée que cet ami puisse voir Martine seins nus. Celle-ci gênée me prévient « je garderais mon maillot ». Un peu déçu, je ne laisse rien paraitre. Ce nest pas leur style, les marques de bronzage de sa femme nous le prouvent.
La mer est forte, impossible de nager, nous jouons dans les vagues, obligés de retenir notre maillot de peur quune vague ne lemporte. Martine a un soutien-gorge bandeau, juste attaché dans le dos, sans bretelle. Une vague bien intentionnée découvre le téton de son sein (je ne sais plus lequel), je ne dis rien, elle ne sen aperçoit pas, du moins elle fait comme si. Notre ami regarde, sa femme tourne la tête, gênée.
Nouvelle vague, le soutien-gorge de Martine se retrouve à la taille, ses seins jaillissent à un mètre de notre ami qui ne se cache même plus pour regarder. On rigole tous les quatre. Sans hésitation, Martine enlève son soutien-gorge « il ne sert plus à rien », restant ainsi tout laprès-midi, sous lil intéressé de notre ami. Je bande en silence.
Le soir, Martine a pu constater leffet produit, moi aussi.
En rentrant de la plage, nous passons devant le club discothèque au bout de la rue, mon ami me fait remarquer :
- Tu es déjà allé dans cette boite,
- Non ce nest pas trop notre truc,
- Je men doute, cest une boite échangiste,
- Quoi, tu es certain ? Comment le sais-tu ?
- Ça se voit au premier coup dil,
- Tu connais ça toi ?
- Non, ça se voit.
Nos amis rentrent chez eux.
- Tu avais remarqué que cétait une boite échangiste ?
- Comment veux-tu ? Je ny suis jamais allée,
- Eh, moi non plus,
La conversation continue
et bien sûr, je lâche :
- Faut pas mourir idiot,
- Quoi ? tu veux
cest pour te taper une petite jeune,
- Et toi pour un grand baraqué.
A force de passer devant tous les jours, on en reparle, la décision est prise. Idée folle, juste « pour voir », en se disant bien « on ne fera rien, on regarde, cest tout ».
Par curiosité, un soir nous poussons la porte du club, la grande inconnue, quallons-nous trouver ? Quallons-nous faire ? Comment allons-nous réagir ?
Martine a revêtu une petite jupe et un chemisier blanc légèrement transparent. Bien sur ses dessous sont à lunisson, un string et pas de soutien-gorge.
En partant de chez nous, nous répétons pour la cinquantième fois « on va juste pour voir », sans savoir si nous le pensons vraiment.
Accueil sympathique, grand sourire. Est-ce écrit sur notre front ? toujours est-il que la charmante hôtesse nous demande innocemment :
- Cest la première fois que vous venez ?
On a alors droit à la présentation de létablissement : Le bar, la piste de danse entourée de petites alcôves, au sous-sol les coins câlins, des petits salons pour sisoler, seuls ou à plusieurs, un coin douche. Quelques conseils : tout est permis rien nest obligatoire, tenue sage sur la piste de danse, pas de relations intimes, au sous-sol, tout est possible, et même conseillé, avec qui vous voulez. Une boisson est comprise dans le prix dentrée.
Nous nous installons sur un grand canapé dans une des alcôves proche de la piste, Nos yeux shabituent à lobscurité, quelques couples dansent, dautres affalés sur des coussins, une femme au bar seins nus parlent avec deux hommes
Les hauts parleurs ne diffusent que des slows. Allons sur la piste, nous sommes bien venus pour danser.
Un homme, puis deux, puis trois, invitent Martine, elle refuse. Je suis son seul cavalier. Elle sagrippe à moi pas trop rassurée.
Excité par lambiance générale, en dansant, jouvre le chemisier de Martine, un bouton
un second
Elle apprécie, seins nus, collée contre moi. Tout le monde peut la voir, mais personne ne nous regarde. Comme si nous étions seuls, je la caresse, la fait se retourner lexhibant à qui veux
je lui remonte sa jupe, elle se cambre, je lui caresse la poitrine, les fesses, jespère que beaucoup dhommes la regardent, ont envie delle.
Revenant à notre table, un couple nous aborde, nous nous connaissons de vue, des voisins de plage. Je les invite à notre table. Ils sont déjà venus plusieurs fois dans ce club et en fréquentent un régulièrement près de chez eux à Paris. Ils ont compris que pour nous cest la première fois, juste pour voir.
Lhomme a vu Martine sur la piste, il a apprécié, mieux que sur la plage. Cette fois, elle ne peut refuser son invitation à danser, elle referme son chemisier en allant sur la piste. Lui faisant face, sans hésiter, lhomme louvre en grand, se colle à elle, sur sa peau nue. Slow langoureux, il se frotte contre elle, ses mains descendent sur ses fesses. Martine a lair un peu gênée, apprécie-t-elle les caresses ? La femme me regarde, elle est belle mais je ne veux pas linviter, ne pas laisser croire que lon est prêt à échanger. Je lui souris bêtement, elle me met à laise « rien nest obligatoire, il faut faire selon ses envies ».
Martine et son mari enchaine plusieurs slows. La main du mari ségare sur sa poitrine, il la pelote ouvertement. Martine ne réagit pas, elle laisse faire. La femme me sourit à nouveau « je crois que ta femme plait bien à mon mari », je ne réponds pas, ne sachant quoi dire.
Ils reviennent à notre table, Martine na pas refermé son chemisier, tout le monde peut voir ses seins. Lhomme se place à côté delle, lui passe le bras sur les épaules, et, en lui faisant une bise dans le cou propose très naturellement « nous pourrions descendre au sous-sol »,
Sa femme est daccord, pas nous, enfin pas moi. Avant que Martine ne réagisse, je lâche « non » pour éviter tout malentendu, et jentraine Martine sur la piste de danse. Elle a lair soulagée, ou déçue, je ne saurais le dire. Je ne lui fais aucune réflexion, aucun reproche, dans le fond nous sommes tous les deux très excités, je la caresse doucement. Le couple part voir dautres connaissances, on ne les reverra pas de la soirée.
Dès le lendemain, nous nous sommes revus à la plage, personne na parlé de la soirée. Ils sont partis le samedi suivant, nous restions encore une semaine.
Mais revenons à cette soirée.
Après quelques slows, nous décidons de rentrer. Mais avant de partir, nous avons envie de savoir comment cela se passe, en bas. Nous descendons visiter le sous-sol : moquette, petites salles, ambiance très feutrée, pas un mot. Quelques couples, plusieurs hommes seuls qui regardent, je tiens Martine bien serrée contre moi.
Intrigués par plusieurs personnes devant une vitre, nous nous approchons, cest pour les voyeurs, avec vue directe dans le salon dà côté, une pièce un peu triste, juste un matelas au sol, aucune décoration, deux hommes avec une femme. Ils sont nus. Martine est troublée par les queues dressées. Sous nos yeux, la femme sabandonne dans les bras de ces hommes. Tout y passe, la bouche, le sexe, à tour de rôle ou ensemble. La femme doit savoir quil y a du monde derrière la vitre, elle nous voit peut-être.
Je regarde Martine fascinée par le spectacle. Un homme se colle à elle, Martine ne bouge pas. Il passe ses bras autour delle, lui ouvre le chemisier, lui caresse la poitrine, sa respiration saccélère. Mon regard passe du spectacle derrière la vitre à celui de Martine à côté de moi. Lhomme la serre de près, il lui a remonté sa jupe, tout en la pelotant il se frotte sur ses fesses nues. Martine saccroche à mon bras.
- On devrait rentrer,
- Ok, mais attend encore un peu
regarde,
Dans la pièce, la femme se retourne, nous la voyons à genou, jambes écartées, sans aucune pudeur. Un des hommes la sodomise face à nous. Nous sommes subjugués par cette queue qui senfonce entre ses fesses, jamais Martine na accepté que je la prenne par derrière, cest pas faute de le lui avoir demandé.
A côté, lhomme ma entendu, encouragé, il continue de caresser Martine. Je suis attiré par le spectacle, je loublie quelques instants
lorsque je la regarde à nouveau, elle a les yeux fermés, lhomme a mis sa main dans sa culotte, il la caresse entre les jambes depuis un moment, je baisse les yeux, il a ouvert son pantalon, son sexe nu frotte contre les fesses de Martine qui ne bouge toujours pas, elle accepte. Dautres hommes sapprochent, intéressés, les mains de plus en plus baladeuses.
Affolé, je prends Martine par le bras avec un simple « vient ». Elle me suit. Nous remontons sans un mot, et prenons un verre pour nous remettre de nos émotions. Au bout de quelques minutes, nous nous regardons chacun essayant de voir ce que pense lautre, reproches ? colère ? Excitation ? On est fautif tous les deux. Complices, nous sommes secoués dun rire un peu nerveux. Je lembrasse en la caressant du bout des doigts.
La soirée est finie, nous quittons la salle.
Cette nuit-là, nous nous endormons très tard, essayant, inconsciemment de revivre ensemble ce que nous avions vu. Jai rarement été aussi en forme, son orgasme a dû sentendre dans toute la maison. Encouragé par ce spectacle, jai voulu faire partager à Martine lattrait que jai pour la sodomie. Sans succès
le spectacle ne lui a pas donné lenvie que jespérais.
Nous avons encore une semaine de vacances, les journées passent au rythme de la plage, des petits restos de la région, des balades au clair de lune. Nous ne parlons plus de cette soirée. Nous avons vu, cest suffisant.
Presque tous les jours nous passons devant, sans rien dire.
Un matin, en prenant le café sur notre terrasse, Martine en petite culotte, je passe derrière elle, lembrasse dans le cou, et commence à la caresser lentement. Toujours prête, elle mencourage, nous nous retrouvons sur le lit, nus, à nous cajoler mutuellement. Le temps des confidences arrive.
- Tu te souviens lautre jour au club ?
Je me souviens. Ses émotions lui reviennent en mémoire, la danse seins nus avec le voisin de plage, les caresses reçues, elle me demande si jétais jaloux en la voyant se faire peloter. Non pas du tout, jai confiance en elle, cétait un bon moment, elle semblait apprécier aussi. Mais après, on la échappé belle, on rit à lidée que
De fil en aiguille, nous constatons que nous sommes forts, nous savons gérer, on peut donc y retourner avec la chance de profiter dun nouveau spectacle. Elle conclue :
- Daccord, juste pour voir.
Perfide, je rajoute :
- Juste pour voir ? Vraiment ? Il ne faut pas mourir idiot. Pourquoi décider maintenant, nous verrons sur place,
Elle se fige, me regarde :
- Tu es sérieux ?
- Tu las dis-toi même la dernière fois, tu étais prête non ?
- Oui mais
- Les vacances sont une parenthèse dans notre vie, une soirée une parenthèse dans nos vacances, alors tout nest-il pas permis ? Je suis certain que nous avons encore beaucoup à apprendre.
- Tu penses à quoi ?
Je pense bien sûr à la sodomie quelle me refuse toujours. Je ne dis rien, mais impossible de rien cacher à une femme :
- Tu as envie de mon petit cul ? Tu aimerais nest-ce pas ?
- Tu le sais, bien, moi je taime partout, Tout est beau chez toi.
- On verra, peut-être un jour
quand je serais prête.
Comme après toutes nos discutions, nous nous embrassons
Nouvelle soirée au club, Martine a remis la même tenue. Son chemisier transparent est parfait, sa poitrine visible sans effort, sa jupe courte une invitation.
Les soirées se suivent et se ressemblent. Nous retrouvons notre alcôve autour de la piste de danse. Pour se mettre dans lambiance, nous regardons les couples danser, certaines femmes sexhibent, seins ou fesses à lair. Je danse avec Martine, jévite de lui ouvrir son chemisier. Des hommes viennent linviter, elle refuse. Je la caresse en passant ma main sous son chemisier, ça nous plait à tous les deux. Nous nous embrassons en dansant, nous sommes seuls au monde.
Soirée trop calme. Devant notre verre, je lui propose de danser avec dautres hommes, sinon à quoi bon.
- Parce que toi, tu veux vraiment te faire une petite jeune. La grande blonde là-bas ferrait laffaire, non ?
- Bof !
La décision est prise pendant une heure, plus de danse ensemble, notre alcôve servira de port dattache pour nous retrouver.
Un premier cavalier se présente, slow langoureux, une main sur les fesses. Un autre. Elle passe de lun à lautre, essayant de ne pas donner sa préférence à un homme en particulier. Jinvite une femme, pas très convaincant. La seconde, la grande blonde a failli me violer, mais bof pas mon type, pas comme ça. Je préfère assister au ballet de ma femme sur la piste, changeant de cavalier à chaque changement de musique.
Tiens, cela fait un bon moment que je la vois avec le même homme, la musique sarrête, elle reste dans ses bras, en attendant la reprise. Nos regards se croisent, je suis intrigué, elle me sourit.
Je ne les quitte plus des yeux, alors quils évoluent lentement dans les bras lun de lautre, une bise dans le cou me fait tressaillir, une main descend sur ses fesses, Martine se détache un peu de son cavalier, laissant le passage à une main qui sattarde maintenant sur ses seins. Va-t-elle franchir le pas ? Je suis surpris, un peu jaloux, mais excité de la situation.
Enfin la musique prend fin, Martine revient vers notre table, laissant son cavalier sur la piste. « Ouf ! ». Elle se penche vers moi sans sassoir, petite bise :
- Il ma invité à descendre au sous-sol,
-
Devant mon silence
- Quest-ce que je fais ?
Pourquoi me demande-t-elle la permission ? Nos accords bien sûr. Mais je suis certain que sa décision est déjà prise.
- Cest toi qui décides mon amour.
- Merci chéri.
Elle membrasse amoureusement, un long baiser, me regarde dans les yeux, et va rejoindre lhomme qui lattend sur la piste.
Celui-ci la prend par la taille, pas pour danser, il lentraine vers lescalier menant aux petits salons intimes.
Résigné, je nai aucune réaction, jai du mal à y croire. Mais cest moi qui lai voulu, non cest nous qui lavons voulu, décision collégiale. Je commande une boisson forte, imaginant ce qui se passe juste en dessous, que vont-ils faire, comment ? Aurais-je le courage de lui demander des détails, voudra-t-elle me raconter ? Et si elle y prenait gout
Et si elle voulait le revoir
Déjà, je men veux.
Cela fait à peine dix minutes quils sont partis, je ne comprends pas, Martine est remontée, elle vient à notre table, elle frisonne, se blottit dans mes bras. Je suis déjà prêt à lui pardonner, mais
- Je nai pas pu.
Je ne vais tout de même pas le lui reprocher, au contraire je respire. Je lembrasse, et la serre contre moi en essayant de la calmer.
Que sest-il passé ? Jattends quelle me raconte.
Elle parle vite, un vrai moulin à parole,
essoufflée par son émotion.
En dansant avec lui, jai été troublée, il me serrait de près, jai senti ses mains, il ma même embrassé dans le cou, tu nas pas vu ? Quand je te regardais, tu me souriais. Jai pris confiance croyant à ton accord, aussi quand il ma proposé daller au sous-sol, je me suis dit « ça y est, cest pour cette fois ». Je suis venu te voir, tu nas pas dit non ; tu ne mas pas encouragée, mais tu ne men as pas empêchée, tes paroles me sont revenues en mémoire « on verra bien sur place », « il ne faut pas mourir idiot ». Je me suis alors décidée. Quand je suis retournée sur la piste, je sentais ton regard, je ne devais pas flancher. Nos yeux se sont croisés, javais peur, javais envie que tu viennes avec moi, que tu me prennes dans tes bras, marrachant à ceux de Marc. Y as-tu pensé ?
En bas, manque de chance pour lui, pas de salon libre, on tourne en rond, je trouve étonnant ces couples qui attendent leur tour, la chanson de Brel me revient en mémoire « au suivant »
Il me tient toujours par la taille, il me plait bien, mais
Il me plaque contre un mur, ouvre mon chemisier et me caresse la poitrine, il suce mes tétons, jaime, sa tête monte je le regarde, il pose ses lèvres sur les miennes, je ne lévite pas, nous nous embrassons à pleine bouche, je lembrasse, sa langue me fouille, cest doux, cest bon.
Trop bon. Ça meffraie, Quest-ce que je fais là ? Je décide de tout arrêter, de remonter. Le laissant sans explication.
- Pourquoi, il ne te plaisait pas, tu nas pas aimé lembrasser ?
- Si bien sûr, jai aimé. Mais jai trop aimé ses mains, sa bouche
non je nai pas pu
Excuses moi mon chéri.
- Non, tu sais moi, de mon côté je ne savais plus quoi penser, pourquoi avais-tu accepté ? Pourquoi ne tavais-je pas retenue ? On aura essayé, cest bien comme ça.
En nous tenant la main, serrés lun contre lautre, bercés par la musique, nous sommes bien, nous sommes ensemble.
- Je nai pas osé parce que jétais seule, il aurait fallu y aller ensemble.
- Je crois que jaurais du mal à le regarder te baiser, déjà savoir quil ta embrassée.
- Qui ça ? Marc ?
- Oui Marc
Tu veux dire, y aller ensemble comment ?
- En même temps, toi avec une femme, moi avec un homme. Tous les deux ensembles,
- Tu aimerais me regarder embrasser une femme, la baiser.
- Non, je crois que je ne pourrais pas, tes à moi,
- Alors cest sans issu,
- Non, nous pourrions y aller ensemble, en même temps, mais dans des salons séparés. Comme ça, on ne se voit pas, et tellement occupé quon naura pas le temps de penser
- Et après on se raconte tout, jaimerais savoir ce que tu auras fait.
- Tout ?
-
- Il faut donc faire un choix,
- Toi, tu as déjà Marc.
- Non tes bête, je ne sais même pas sil est encore là, et sil voudra encore de moi. Et toi ? tu vas sauter la grande blonde ?
- Noon pas elle, cest une tentacule, non jen veux une plus mignonne.
- Ben voyons
Ok, je te laisse choisir, de mon côté je pars en chasse dun beau cavalier,
- Alors, cest sûr, la décision est prise,
- Ben oui, tu ne veux plus,
- Si si
- On ne doit pas mourir idiot, nest-ce pas ?
- Et quaimerais tu faire avec lui ?
- Je ne sais pas, je le laisserais me guider,
- Je te connais, tu vas lui refuser comme à moi.
- Pas sûr, cest peut-être loccasion dessayer. Mais toi, tu vas en choisir une qui acceptera que tu la prennes comme ça, non ?
- Dis le plus clairement, que je lencule.
-
oh
ben oui, pour toi cest le moment ou jamais.
Cest daccord, nous sommes des adultes responsables et consentants.
Martine retourne sur la piste, le chemisier un peu ouvert
Elle danse, les candidats ne manquent pas. Marc, son ex, nest plus là. Elle se met dans lambiance, quelques bisous dans le cou, quelques caresses, parfois un sein à lair. Ils en profitent tous, elle aussi.
Je tourne dans la salle, regardant avec plus dattention dans lombre des alcôves. Rien, je dois être difficile, pas simple de choisir comme ça une femme, quand on a toujours été fidèle
Une peur, serais-je à la hauteur ?
Jévite la grande blonde. Cest alors que je repère une jeune femme, petite, brune, la copie de Martine, elle semble timide, disons réservée. Elle est seule. Je lavais vu danser avec son mari, enfin son homme, il nest plus là, il doit être en galante compagnie, elle semble attendre.
Elle accepte mon invitation à danser. Sa réserve me plait, jolis petits seins fermes contre moi. Martine me souris, elle comprend que jai trouvé. Dans son regard, je lis une pointe de jalousie, chacun son tour.
Rapidement, elle se retrouve dans les bras de Marc. Jaurais dû men douter, son choix était simple. Il doit comprendre
sa soirée va bien se terminer.
Nous retournons à notre place. On a dit ensemble, comme pour une mission, je dis avec un sourire crispé :
- Réglons nos montres
Go.
Nous dansons ensemble, nos corps à lunisson, je veux, elle veut,
Pas un mot, On se parle avec les yeux, on sembrasse comme si cétait la dernière fois, comme si cétait la première.
- Daccord, pas jalouse, on se racontera tout,
- Tu as vraiment envie de la sodomiser ? Depuis le temps que tu men parles, profites en.
- Pourquoi pas, si elle accepte. Et toi, tu en as aussi envie avec lui ?
- Non gros bête, tu me connais, je disais ça juste pour te taquiner.
Je souris, sans être totalement rassuré.
Nous nous séparons,
Elle va rejoindre Marc sur la piste, moi Marie la petite brune. Nous ne dansons pas loin lun de lautre, nous jetant de temps en temps un tendre regard mi affolé, mi interrogateur.
Le temps dun slow
Nous partons ensemble, direction le sous-sol.
Les salons sont tous occupés. Nous devons attendre quelques minutes, de longues minutes au milieu des hommes et des couples venus « juste pour voir », qui attendent pour voir, qui attendent pour nous voir.
Les salons se libèrent. Nos regards se croisent une dernière fois avant de refermer la porte qui va abriter « notre initiation ».
---- o O o ---- Martine
Jai retrouvé Marc, ou plutôt cest lui qui ma retrouvé. Un bon point, il na pas lair de men vouloir pour tout à lheure.
On danse ensemble, je suis bien dans ses bras, la tête contre son épaule, Je me souviens de son baiser, il ma fait fondre. Jai encore envie de ses lèvres, jaimerais
mais pas devant mon Patrick, il na pas eu lair dapprécier lorsque je lui en ai parlé. Tiens, où est-il ?
Là-bas, il danse avec cette fille, comment sappelle-t-elle déjà ?
Marie
quest-ce quil le peut lui trouver ?
Elle se serre contre lui, la tête contre son épaule
Non mais, cest mon mec
Voilà que je deviens jalouse, cest tout moi ça, alors que je suis dans les bras de Marc qui me caresse les fesses
mais ? Patrick caresse aussi les fesses de Marie, le cochon, devant moi
il doit avoir envie de la prendre par là, surement,
moi je ne veux pas
profites en, elle nattend que ça, cette salope
Voilà encore ma jalousie qui me reprend
non mon chéri, jespère que tu vas prendre du bon temps, comme moi. Que tu pourras faire tout ce que tu veux, il manquerait plus que ça quelle te refuse. Juré, on se dira tout
enfin presque tout
La musique sarrête, Marc en profite, un bras derrière ma taille, il me pousse vers les escaliers, ce nest pas le moment de reculer
cette fois je ne reculerais pas
je ne reculerais pas. Je ne reculerais pas.
Ah les hommes ! Mon Patrick fait de même avec cette Marie
Marie couche toi là oui ! Ils nous suivent, ils sont derrière nous. Que pense-t-il du bras de Marc autour de ma taille ?
ne me regardes pas.
Les salons sont tous occupés, il faut attendre, il en faut deux, sinon
Marc essaie de membrasser, je tourne la tête. Il ne perd pas de temps, debout dans un coin, il me pelote les seins, petit avant-gout pas désagréable. Un coup dil à Patrick, il tient Marie contre lui, elle est mignonne dans le fond, pas un geste déplacé, cest touchant, il a lair dun ado timide
bouges toi mon vieux
Un salon se libère, Marc me pousse en avant, Patrick avance aussi avec Marie. Non, il en faut un deuxième, on a dit ensemble.
Ouf, la porte du salon juste à côté souvre laissant le passage à une femme suivi de trois hommes, ouah une gourmande celle-là.
Avec Patrick, nos regards se croisent une dernière fois avant de refermer la porte.
La parenthèse souvre,
De suite, je passe mes bras autour de son cou, ses lèvres prennent les miennes, je nattendais que ça, moment magique, la tête me tourne, je me laisse totalement aller dans ce baiser, je ferais tout ce quil voudra.
Déjà ma robe se retrouve au sol, vite suivie de mon soutien-gorge et de ma culotte, quelle excitation de me retrouver nue, entièrement nue dans ce salon un peu triste.
Je massoie sur le matelas posé au sol, tandis que, sans faire de striptease, il se met nu face à moi.
Sa bite est raide. Rassurée, mon charme opère toujours
je ne le regarde pas dans les yeux, fascinée par cette queue, ce gland qui savance vers moi. Sans réfléchir, jouvre la bouche et laccueille entre mes lèvres. Sans se soucier de moi, il me tient la tête et commence de longs vas et vient au plus profond de ma gorge. Il me baise la bouche et jaime ça. Pourvu quil ne jouisse pas trop vite
---- o O o ---- Moi
Je men doutais, Marc la retrouvé, ils semblent bien sentendre. Trop peut-être. Ne se connaissaient-ils pas avant ?
Non pas possible, elle ne serait pas remontée tout à lheure,
Il ne perd pas de temps, il a combien de mains ce mec ?
Martine a lair dapprécier, cest bien elle qui se frotte contre lui, qui pose sa tête au creux de son épaule
On danse, je suis bien
Mais, ce nest pas Martine dans mes bras, Qui ? Marie, elle est mignonne, sans men rendre compte je la caresse, ma main sur ses fesses, elle ne dit rien, elle doit aimer ça
pense-t-elle que je suis un gros lourd, ou espère-t-elle le coup du siècle ?
Martine a le regard sur ses fesses, enfin sur ma main, je la retire rapidement comme un pris la main dans le pot de confiture.
Ne pensons plus à Martine, je dois moccuper de toi Marie, Marie si jolie petite poupée, comme je les aime
La musique sarrête. Je vois Martine partir avec son cavalier vers le sous-sol, déjà, elle a le feu au
non, cest lui qui la pousse, hésite-t-elle encore ?... On a dit ensemble, je la suis avec Marie qui ne pose pas de question. Martine est devant nous, la main de Marc autour de la taille, sur ses fesses
elle ma toujours refusé, ne va-t-elle pas en profiter aujourdhui ? Il faut bien un début à tout
Les salons sont occupés, nous devons attendre,
Martine repousse Marc qui essaie de lembrasser. Son chemisier est maintenant ouvert, elle a la poitrine à lair. Ses mains pétrissent ses seins, jouent avec ses tétons. Elle ne le repousse pas
Jen oublie Marie.
Comme beaucoup de femmes Martine est très sensible des seins, je me souviens quand nous nous sommes connus, en flirtant dans la voiture, je lembrassais, une main sous son pull, ses seins étaient doux, ses tétons bien érigés, je les malaxais avec le plaisir de la découverte, Martine la tête en arrière goutait ce plaisir, et en fermant les yeux, elle a joui en se mordant les lèvres pour ne pas crier. Une révélation pour nous deux
mais je mégare, en ce moment cest Marc qui en profite.
Moi, jai juste osé poser une main sur le sein encore couvert de Marie
Enfin un, puis deux salons se libèrent, leurs occupants vont vers les douches, comme nous le ferons surement dans un moment.
Les dés en sont jetés
Je prends ma cavalière par la taille, Martine se blotti contre son cavalier,
il nest plus temps de reculer
nous nous dirigeons vers les deux salons fraichement libérés
nos regards se croisent une dernière fois avant que la porte du salon ne se referme.
Enfin seul, sans témoin, je la déshabille très vite, je suis nu tout aussi rapidement. Je lembrasse, tendrement, presque amoureusement, elle semble si fragile, ses lèvres sont douces et fraiches. Jai envie de les sentir sur mon gland,
sans trop de préambule, jinvesti sa bouche,
elle semble experte, chacun son truc, jai tiré le bon numéro. Elle aime ça, cest évident, jaimerais jouir dans cette bouche accueillante, mais après, pourrais-je honorer sa petite chatte, ou encore mieux
Je dois me réserver
va doucement Patrick, dou-ce-ment.
Martine
Pourvu quil ne jouisse pas trop vite
Quel plaisir de sucer une telle bite, ce gland bien gonflé, cette tige raide
je suis bête, pourquoi nen ai-je pas profité plus tôt
si josais
non pas dans la bouche tout de même.
Je mallonge et le regarde, il est debout, grand, puissant
humm, cest pour moi tout ça ?
Une envie folle de moffrir à lui. En le regardant dans les yeux, jécarte les cuisses, je nai plus aucune pudeur, jai envie quil me voit, quil voit combien ma chatte attends dêtre pénétrée. Faut croire à la télépathie, il a entendu ma prière, il se met à genou entre mes cuisses, me caresse la chatte avec douceur, écartant mes lèvres déjà bien humides, jouant avec mon clito, il a senti que je suis prête, pas de temps à perdre, son gland sapproche
je ferme les yeux, sa queue me pénètre lentement, encre et encore, nos pubis se touchent. Petite pause. Et le pilonnage commence, bien profond, en cadence, quelle vigueur, il va me transpercer
quel bonheur
je cligne des yeux, pour voir dans la pénombre du salon cette masse qui me possède, qui va me faire jouir
oui, continue, vas-y, encore plus fort
jaime, je suis à toi toute entière
jamais je ne pourrais raconter ce que je ressens
---- o O o ---- Moi
Va doucement Patrick, dou-ce-ment
Ses lèvres sont douces sur ma queue bien raide, sa bouche maspire à chaque passage, mais je ne tiendrais jamais plusieurs rounds, autant me réserver. Jai envie de lentendre crier son bonheur de baiser avec moi, mon honneur de mâle
Je lallonge, la regarde nue, offerte, elle mattend, quelle est belle, ses seins sont mignons à croquer, sa chatte, humm sa chatte
Elle écarte les jambes, mon regard plonge sur ses lèvres sécrètes, humides
elle est prête, pourquoi attendre, je lèche ses lèvres, petits bisous sur le clito histoire den connaitre le gout. Je présente ma queue, je devine quelle aussi en a envie, ne voulant pas la faire attendre, avec toute la délicatesse et la lenteur voulu je lenfile à fond, et commence à faire coulisser ma queue dans son puits damour. Sa respiration saccélère, elle ferme les yeux, il suffirait de peu de chose pour la faire jouir.
Je ralenti, faire durer, pour son plaisir, pour mon plaisir,
je me couche sur elle lembrasse, sa langue est douce
elle sabandonne
avec moi.
---- o O o ---- Martine
Il est en moi, il va jouir, jattends le jet qui déclenchera mon orgasme, je me mords les lèvres
mais non, il se retire, pourquoi ?
dun coup il me fait me retourner. Jai compris
jhésite
il faut bien une première fois
tout mon corps accepte
je tends mes fesses, à genou, la tête sur mes bras, jai envie dapprendre
Il caresse mon petit trou, jai peur, vais-je avoir mal ? Il comprend mon angoisse, me rassure par des mots doux. Il se penche, me lèche lanus, jai honte, comment peut-on faire un truc pareil ?
mais cest bon, que cest bon, je me décontracte. Il doit sentir le relâchement de mes muscles, il enfonce un doigt
jai lu ça quelque part, il me prépare, on doit avoir les mêmes lectures
son gland posé contre mon petit trou, il pousse, très lentement il plonge en moi, dans mon cul. Petite douleur qui me fait pousser un cri,
pourtant ce nest pas désagréable, bizarre mais pas désagréable, il hésite, non, vas-y enfonce toi encore plus, je suis ta salope
Il ne bouge plus, quelle impression davoir une bite plantée en moi
je pensais avoir plus mal. Le voilà qui se met en mouvement, dabord doucement et de plus en plus vite. Jimagine ce que je ne peux voir, cette queue qui mencule, qui mencule à fond. Quest ce qui marrive, je nai jamais parlé comme ça moi
En même temps, il me triture les nichons, il me pince les tétons. Vas-y mon corps est à toi, fais-en ce que tu veux
Il sarrête, son pubis contre mes fesses, un jet puissant inonde mes entrailles. Sans prévis, un cri sort de ma gorge, je me cambre, tous mes muscles se crispent, je jouis, je jouis comme jamais, Mon orgasme a dû réveiller tout le club,
que cest bon
Je meffondre. Il semble aussi épuisé que moi. Il sallonge à côté de moi les yeux fermés., nous reprenons notre souffle.
Je le regarde, il est beau. Grâce à lui je ne vais pas mourir idiote.
jai envie de lembrasser.
---- o O o ---- Moi
Je noublie pas mon but premier, la sodomiser, enfin plus exactement lenculer, la prendre dans le cul, soyons vulgaire. Cest une chance à ne pas manquer.
Pour linstant je la baise, ma queue bien au chaud dans son antre humide. La bouche légèrement ouverte, elle est au bord de la jouissance. Je me retire, sous ses yeux interrogateurs, je la retourne, elle comprend vite, et tend vers moi son petit cul. Jen déduit quelle na rien contre, ça me change.
Comment faire ? Il faut la préparer, ne pas lui faire mal. Je me souviens des pornos vus sur internet
Je lui caresse doucement lanus, elle frisonne, elle sait je vais menfoncer en elle,
pas si vite, tout dabord, une petite lèche, une feuille de rose comme on dit. Humm cest bon
elle na aucun poil par-là, elle a dû se raser, encore une bonne habitude.
Son petit trou sélargit sous ma langue, jessaie de bien lenfoncer, très vite je la remplace par un doigt, elle a lair suffisamment dilatée. Je caresse son sillon avec ma bite, mattardant sur le passage convoité. Mon gland semble énorme, va-t-il pouvoir rentrer ? Les femmes ont de telles ressources. Je pousse un peu, elle serre les points, cache sa tête, je ne vois plus ses yeux. A moi de faire, je pousse encore
plop, le gland est entré, plus facile que je ne le pensais. Juste un petit cri, douleur ou surprise ? Je la laisse shabi,
je pousse un peu plus, centimètre par centimètre ma bite senfonce toujours plus loin
Je vois ma queue aller et venir en elle, comme dans les films porno
je nen peux plus, je lui malaxe les seins, dun coup je menfonce à fond la plaquant sur le matelas, je me laisse aller en lâchant de puissants jets, me vidant enfin les couilles dans ce cul si accueillant. A ce moment, elle lève la tête, son corps frissonne, un cri
tout le club doit être au courant.
Couché sur elle, je reprends un peu mes esprits, sa respiration reprend un rythme plus normal ; je me couche à côté delle, ferme les yeux pour gouter le plaisir davoir enfin réalisé mon rêve.
Les yeux fermés, nous restons allongés lun contre lautre.
---- o O o ----
Epilogue,
Jouvre les yeux
Martine me regarde, rayonnante de bonheur, son corps luisant de sueur, un sourire radieux illumine son visage, ses yeux semblent plein damour. Je lui souris.
Elle se penche, pose ses lèvres sur les miennes
- Merci mon chéri,
Il est tard, la soirée sachève
Nous allons prendre une douche salvatrice, et croisons Marc et Marie qui sortent en même temps que nous de lautre salon
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